Vie agricole : le temps des moissons (3)
Le processus de la moisson des céréales à paille a connu ces deux derniers siècles une évolution technique qui a transformé des pratiques ancestrales de récoltes. Faucheuse, javeleuse, lieuse...les premières machines automatisées partiellement remplaçaient les méthodes manuelles. Cette mécanisation fut la première révolution agricole.
Les premières machines à moissonner ont réduit la pénibilité du travail ainsi que la dépendance à la main-d’oeuvre tout en augmentant les rendements... Des outils manuels rudimentaires aux machines agricoles, le moissonnage doit beaucoup à la mécanisation.
La première faucheuse mécanique a supplanté progressivement en Auvergne le travail à la faux, rendant la coupe des céréales et des foins plus rapide et bien moins fatigante. Développée dans la dernière moitié du 19ème siècle elle fut une véritable révolution dans le travail de la moisson des paysans et resta utilisée jusque dans les années 1950.
L’élément essentiel d’une ancienne moissonneuse-faucheuse pour les céréales est son système de coupe latérale animé par le mouvement linéaire alternatif composé d’une barre à coupe à dents mue par un va-et-vient créant une petite cisaille. Elle présentait l’avantage de préserver au mieux les tiges des blés.
L’homme assis sur un siège conduisait l’attelage et surveillait la coupe pour éviter le risque de casse des dents lors de la rencontres de pierres. Le blé coupé se déposait sur le sol et devait donc être rassemblé en javelle par une autre personne à l’arrière, souvent une femme.
Il fallait atteler au moins deux bœufs ou deux chevaux selon la configuration du terrain. Elle sera adapté pour les tracteurs.
Fauchage sur le plateau de la Bousseloeuf (Auriac-l’Eglise, vers 1950)
Moisson près du hameau de Chavagnac (Auriac-l’Eglise, 1948)
La moissonneuse-javeleuse apparue au début du 20ème siècle dans le paysage agricole auvergnat est un perfectionnement de la moissonneuse-faucheuse. Cette nouvelle machine fauchait à la fois le blé et le mettait en javelles non liées. Un gain de temps considérable.
En plus de la faucheuse ordinaire, la javeleuse comprenait à l’arrière du porte-lame, un tablier plat en forme de quart de cercle, sur lequel tombaient les tiges coupées. Quatre râteaux mobiles sur le côté en s’abaissant rabattaient les tiges coupées en arrière et les couchaient sur le tablier où elles s’entassaient avant d’être éjecter sur le côté rendant la voie libre pour un nouveau passage sans avoir besoin d’enlever les javelles.
Utilisée jusque dans les années 1960 la moissonneuse-lieuse avait amélioré les anciennes machines à moissonner. En plus du fauchage des tiges des céréales à paille, elle les conditionnait et les liait automatiquement en gerbes à l’aide d’une ficelle fine spéciale. Une fois nouée la gerbe était déversée à l’arrière de la machine.
Tractée par un attelage d’animaux de trait, puis par un tracteur, la moissonneuse-lieuse était actionnées par un barbotin, grande roue à crampons supportant l’essentiel du poids de la machine au travail pour assurer son adhérence au sol. Elle possédait un rabatteur à axe horizontal qui se relevait pour réduire l’encombrement lors du transport ainsi qu’une barre de coupe.
Moisson près du hameau de Pimperige (Peyrusse)
Moisson près du hameau de la Besseyre (Molèdes, 1950)
Avant l’arrivée du blé moissonné à la ferme, toute une série de manipulations suivait : mise en javelles, retournement éventuel pour un séchage, confection du lien des gerbes, mise en moyette et en pignon, chargement sur le char à échelles, transport jusqu’à la ferme, stockage en meules près de l’aire du prochain battage. Un temps, de la technique et des savoir-faire...
Durant plusieurs journées les travaux dans les champs souvent en pleine chaleur étaient pénibles et coûteux en main-d’oeuvre, forçant les paysans à se regrouper, y compris en famille, pour terminer la première étape de la moisson avant les pluies. Le ramassage et le transport des céréales faisaient donc l’objet de pratiques traditionnelles à l’aide de matériels souvent spécifiques du temps de la moisson.
Champs moissonné au Babory de Blesle
Quand le blé était coupé et mis en javelles, on procédait au liage des gerbes bien sèches au fur et à mesure. On liait les gerbes car sans cette opération la manipulation de la moisson aurait été impossible.
Pour lier une gerbe, le moissonneur saisissait dans chaque main une extrémité du lien réalisé à partir d’un bouquet de tiges de blé, les rapprochait l’une de l’autre et serrait très fort la paille en appuyant sur ses genoux. Puis, il croisait les deux extrémités du lien le plus près possible de la paille, les tordait ensemble, les repliait en deux et introduisait la partie repliée sous le lien qui maintenait le tout fortement serré.
Monsieur Albert Badeuil pratique le liage d’une gerbe de blé (Chazelle, Auriac-l’Eglise)
Le liadou, le bâton à lier
Très dépouillé d’aspect, le liadou, bâton à lier, était la plupart du temps un outil fait maison. Il permettait de ficeler les gerbes mis en javelle pour constituer une seule grosse gerbe. Une fois rassemblée, le moissonneur la prenait sous son bras gauche et la frappait afin de mettre les tiges de blé à la même hauteur. La gerbe était alors liée, ceinturée par un lien de paille étirée et entortillée avec plusieurs brins. La pointe du liadou était alors glissée entre le lien et la paille. Plusieurs tours de l’outil assuraient un bon serrage du lien autour de la gerbe.
Un outil banal mais essentiel pour un liage bien serré
Une fois liées les gerbes étaient mises en petits tas appelés moyettes et laissées sur place quelques jours afin que le grain continue de mûrir et sèche. Ces petits tas étaient composés de cinq ou six gerbes dressées les unes contre les autres, épis en haut, et coiffées d’une dernière gerbe épis en bas, formant une sorte de toiture et garantissant les autres de la pluie.
Le champs moissonné était recouvert de moyettes qui attendaient qu’on viennent les charger pour les regrouper en pignons.
Le traîneau ou lège tiré par la force motrice des bœufs participait sur certaines grandes surfaces moissonnées à rassembler les gerbes de blé nécessaires à la confection d’un pignon. Il s’agissait d’un usage ancestral de cet engin de portage fréquent dans beaucoup de fermes du Cézallier.
La forme normales d’un traîneau à céréales se limitait à deux longs patins aux bouts arrondis, réunis par des traverses supportant un plateau de quelques planches. Une chaîne fixée à l’avant rejoignait le joug des bœufs. Le chargement de gerbes fraîchement coupées et liées était maintenu par deux ridelles fixées à l’avant du traîneau ou par un système de cordage reliant le train arrière à l’avant. Le glissement était facilité par le rebut de chaume resté sur le sol après la coupe des tiges.
Il s’agissait donc d’un simple moyen de transport à hauteur d’homme, y compris pour les enfants, rendant facile et rapide l’entassement des gerbes avant leur regroupement en pignons.
Le contenu du traîneau était déchargé par glissement facilité à l’aide des 2 perches détachées de l’avant du traîneau.
Après la création des moyettes, les moissonneurs formaient des pignons de gerbes, chacun correspondant environ au contenu d’un char. Pour les réaliser on rangeait les gerbes à plat sur le sol, les unes contre les autres, les épis au centre. La spirale des gerbes se soulevait progressivement comme une coquille d’escargot, pour se terminer en pointe comme une énorme cloche.
Indispensable dans la vie agricole d’autrefois, le char à quatre roues, ou char à échelles, était le moyen traditionnel utilisé pour le transport des gerbes de céréales jusqu’à la ferme. L’attelage tiré par les bœufs et par la suite les tracteurs circulait près des pignons ou entre les rangées de moyettes.
Les gerbes extraites des pignons, déposées en travers sur le char, les épis vers le milieu, croisées entre elles, s’amoncelaient au maximum de hauteur. La perche chevillée à l’avant et serrée à l’arrière bloquait le chargement. Un convoi fragile qui ressemblait à un hérisson.
Le char possède quatre roues. Les roues avant sont généralement d’un diamètre inférieur à celui des roues arrières. Quoique moins hautes que celles de la charrette à deux roues, ces roues sont cependant construites selon les mêmes principes.
Les deux essieux portent la longe, pièce principale qui supportent les deux échelles latérales au moyen de quatre pièces de bois. Aux extrémités, les échelles sont maintenues entre elles par une poutre fixée de chaque côté par une clavette.
La longe est une forte poutre de bois qui réunit l’essieu avant à l’essieu arrière. Elle peut être percée de quelques trous permettant d’avancer ou de reculer l’essieu arrière pour allonger ou raccourcir le chariot selon les besoins.
L’essieu arrière était fixé à la longe sur laquelle reposait le fond du chariot. L’essieu avant n’était attaché à la longe que par un pivot autour duquel il pouvait tourner.
Après la récolte des céréales dans les champs tout reste à faire. Le battage des céréales était une opération incontournable consistant à séparer les graines de l’épi. Au fil du temps les populations rurales durent trouver le moyen susceptible de donner un meilleur rendement que l’égrenage à la main. Elles ont d’abord eu recours à l’utilisation de différents instruments manuels avant l’arrivée des premières machines.
Le battage traditionnel fut d’abord au bâton et au foulage, puis avec le fléau qui est devenu pendant des siècles l’instrument de battage le plus répandu. Ce bâton de bois dur d’apparence sommaire fut pourtant indispensable aux paysans pour récupérer les graines des céréales récoltés durant l’été.
Le fléau, un instrument rudimentaire mais décisif
Le fléau est un instrument agricole pour le battage des céréales, sorte de bâton d’un bois dur articulé en deux parties. D’apparence si rudimentaire et de maniement si simple, ce fut un outil décisif de clôture de la récolte. De lui dépendaient la quantité et la qualité des grains libérés de leurs épis.
Le fléau se compose d’un manche d’environ 1,50m et d’une batte plus courte et plus massue de 0,80m. Les deux pièces sont réunies l’une à l’autre par un système d’anneaux en cuir résistant.
L’aire de battage
Une attention particulière était portée à la préparation de l’aire de battage, une surface horizontale en terre soigneusement battue, généralement exposée au vent pour dissiper la poussière, parfois en pierre. La battage s’effectuait dans certaines fermes au seuil de la grange, à l’intérieur sur un plancher bien joint, notamment en hiver. Il pouvait aussi avoir lieu en plein milieu du village sur l’espace collectif du couderc.
Les gerbes de blé à battre saisies sur le pignon étaient étendues préalablement déliées en une couche de quelques centimètres d’épaisseur sur le sol de l’aire. Les anciens disposaient toujours les épis vers l’intérieur, la tige étant orientée vers l’extérieur. Tout autour on mettait des gerbes pour empêcher le grain de sauter au dehors.
Battage du blé sur la place Saint-Pierre à Blesle
Le battage, un moment se sociabilité paysanne
Le battage au fléau fut un grand moment annuel de sociabilité paysanne avec ses rites et ses traditions. Les batteurs travaillaient par groupe, femmes et hommes certains embauchés pour l’occasion, et parfois des enfants dès l’âge de 10 ans. Chaque batteur face à face opérant aligné et sur une largueur d’environ un mètre frappait à son tour suivant un certain rythme parfaitement cadencé et régulier, plus ou moins rapide selon le nombre de batteurs. Jamais deux fléaux ne frappaient en même temps.
D’un mouvement ample et précis, le batteur relevait le manche au-dessus de sa tête et faisait tourner le battant du fléau, comme un fouet rigide, avant de l’abattre à plat sur les tiges de blé en allongeant obliquement le bras. Ce tournoiement était sans cesse répété. Le choc faisait sortir les grains des épis. Ils étaient protégés de l’écrasement par la paille. Lorsqu’elles avaient été frappées partout les tiges de blé étaient remuées et retournées à la fourche et battues à nouveau car il restait toujours une petite quantité de grains attachés aux épis. Quand la quantité battue était suffisante la paille rassemblée à la fourche était enlevée, le grain mis en tas avant d’être vanné.
Le travail était épuisant et s’effectuait dans une atmosphère saturée de poussière, surtout lorsqu’il avait lieu dans une grange fermée. Le travail achevé donnait lieu à un bon repas de battage.
Un battage au fléau pouvait se poursuivre en hiver : un battage plus familial..
Battage du blé dans un village près de Brioude
Avant l’utilisation des premières mécaniques facilitant la séparation des grains de l’épi, les paysans ont utilisé des versions variées de méthodes et d’outils agricoles : le chaubage, la forme la plus ancienne de battage, le van pour nettoyer les céréales à l’aide du vent, le tarare, une petite mécanique enfermée dans une caisse en bois, la batteuse à bras, le trieur de grains... quel que soit la méthode, le battage manuel était une activité physique souvent épuisante.
Le chaubage, un battage rudimentaire
Autrefois l’égrainage des céréales sans l’aide d’un fléau s’effectuait parfois par un procédé tout simple : le chaubage.
Le chaubage est la forme la plus ancienne pour sortir la graine de la balle qui l’entoure. Elle ne fait appel dans ses formes les moins élaborées à aucun outil. Le paysan frappait la gerbe qu’il tenait à la main contre une surface dure. Cette technique qui fut encore occasionnellement pratiquée dans les fermes de la vallée de la Sianne au début du 20ème siècle n’était vraiment intéressante que pour des petites quantités de gerbes car très lente. Elle permettait toutefois de conserver la paille de blé ou de seigle intacte notamment pour réparer les toitures en chaume de la maison paysanne.
Pratique du chaubage au hameau du Lac (Vèze)
« A l’arrière saison, le père Magne installait « l’âne », une sorte de courte échelle très large, avec des barreaux allongés. Chaque batteur saisissait alors une gerbe, une main sur le lien et l’autre tenant le bout de la gerbe et frappait la tête contenant les épis sur les barreaux de « l’âne ». Les grains murs tombaient sur le sol au milieu des épis éclatés et des balles, la première enveloppe du grain. Un mélange qu’il fallait ensuite passer au vannoir... »
Le van, la grande coquille d’osier
Le van était un outil agricole dont les paysans se servaient pour nettoyer les céréales à l’aide du vent avant la première mécanisation. C’était un panier en forme d’une grande coquille plate sans rebord, avec un creux vers l’arrière et muni de poignées latérales, servant à séparer la paille, la balle des épis et la poussière sur les graines. Il était généralement confectionné d’un tressage d’osier, de branches de châtaignier refendues.
Le vanneur devait se tenir du côté opposé à celui du vent pour que les morceaux de paille retombent hors de l’aire de battage. Il prenait dans son van une certaine quantité de grain battu préalablement après avoir écarté la paille et les balles les plus volumineuses. Secouant alors son van tenu des deux mains et qu’il s’appuie sur ses deux cuisses, il faisait sautiller le grain et les substances qui s’y trouvaient mêlées. Dans ce mouvement les plus légères étaient emportées par l’air et les autres se rassemblaient à la surface du van.L’opération était recommencée jusqu’à l’élimination complète des impuretés .
Si le vent naturel faisait défaut, le vannage s’effectuait près de la porte charretière de la grange et en créant un courant d’air.
Cette méthode de vannage était très lente et pénible pour le paysan qui ne nettoyait pas plus de 50 kilos de grain par heure. Le vannage manuel a été mécanisé par un vannoir mobile, le tarare.
Le vannage au tarare
Le tarare appelé aussi vannoir est l’une des machines emblématiques du progrès agricole qui tirerait son nom du bruit caractéristique qu’il émet en fonctionnant. Son usage en France dans les petites fermes s’est développé au 19ème siècle jusqu’au milieu du 20ème siècle en simplifiant le travail des paysans. Le tarare tout en bois intégrait et mécanisait pour la première fois deux opérations : le vannage et le criblage, c’est à dire le nettoyage et le triage des grains de céréales.
Une manivelle qui met tout le système en mouvement, actionnée par un seul homme relevé régulièrement, entraîne un ventilateur à quatre palettes en bois (le vent) et, en même temps, le trembleur, fait de deux grilles superposées, animées d’un mouvement vibratoire.
Le mélange grain et balles est versée dans la trémie située sur le haut du tarare avec une pelle en bois. Il tombe sur le trembleur animé d’un mouvement de va-et-vient latéral. Les débris légers sont chassés par le courant d’air produit par le ventilateur. Les impuretés sont arrêtées par les grilles et versées à l’arrière. Les grains de céréales glissent alors sur un plan incliné (crible fin) qui tremble également. Une ultime grille sépare les petits grains des grains nobles qui tombent sous le tambour. Ce calibrage des grains de céréales fut, pour le monde agricole, une étape du progrès dans les rendements.
Après le fléau pour le battage, le van pour le vannage, la machine prend peu à peu le pas sur ces instruments séculaires. Au 20ème siècle, la moissonneuse-batteuse finira par les supplanter tous.
Avec le progrès de la mécanisation, le tarare fut intégré dans la batteuse.
La batteuse à bras
La batteuse à bras comme son nom l’indique était actionnée par une roue-manivelle par les bras des paysans au prix de beaucoup d’efforts physiques. C’est une machine agricole pour battre les céréales à un poste fixe, généralement utilisée dans les petites exploitations agricoles, afin de séparer le grain de la paille non comestible. Ce matériel a remplacé efficacement le battage au fléau avant l’apparition de la moisonneuse-batteuse plus puissante et plus efficace.
Les gerbes étaient placées sur la table de battage puis entraînées sur un rotor axial, le batteur, tambour composé de battes qui frappaient les tiges pour séparer les grains de leur enveloppe. Les grains tombaient dans un bac, la paille était éjectée par l’arrière de la batteuse.
Le trieur de grains
Pour ensemencer la terre les paysans avaient besoin de trier des graines saines et vigoureuses. Un premier trieur de grains fut inventé en 1857 par Jules Marot de Niort. Jusque-là, le principe de nettoyage des grains reposait sur un système de ventilation et de tamis. En s’associant avec un ferblantier il met au point en 1870 un appareil avec des alvéoles formées dans différentes grilles autour d’un cylindre en zinc actionné avec une simple manivelle.
Un trieur de grain cumulait les quatre opérations nécessaire pour un bon tri de toutes sortes de céréales : la ventilation, l’émottage, le criblage, le triage.
Avec la rotation continue de son cylindre chaque grain entrait facilement dans une perforation qui retenait seulement les gros déchets qui sortaient en bout de crible. Pas besoin de vibration dans ce système, donc moins bruyant qu’un tarare.Les graines étaient triées selon leur forme et ensuite dirigées vers des boites sous l’appareil.
Ce système de trieur à grains a donc été beaucoup dans le Cézallier considéré comme un nettoyeur assez efficace permettant l’élimination simple et rapide des éléments grossiers contenus dans les grains. Seules les grosses fermes en possédaient un. Il existait différents modèles accessibles pour les villages et les petites fermes fournis par les syndicats agricoles.
A partir des années 1960, les trieurs à grains seront intégrés aux moissonneuses.
Trieur de grains Marot
PATRIMOINE
L’eau
Les moulins de la vallée de la Sianne
Les passerelles primitives sur la Sianne
Les moulins de communautés villageoises
Le pays
Les Activités
L’estive sur le Cézallier Cantalien
Vie agricole : le temps des moissons (3)
L’usage du feu dans la maison traditionnelle
Le Bâti
Les symboles sur le bâti ancien
Les petits bâtiments d’élevage
Les toitures du Cézallier cantalien